Titre

Rumble in the House

Auteur Olivier Saffre  
Éditeurs Atalia  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur

Flatlined Games  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année 2011
Joueurs 3 à 6
Public enfants, ados, adultes
Durée 15 min
Mécanismes bluff, objectif secret
Thème bagarre et baston
Emplacement étagères du rayon R
Règle du jeu
Vidéorègle
Ressources


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Jedisjeux


Le jeu sur
Jeux de NIM


Le jeu sur
Tric Trac


Le jeu sur
Vin d’jeu
                 

Vous recevez, au début de la partie, deux cartes secrètes de personnage. Votre but est d'en garder au moins une vivante le plus longtemps possible. À chaque tour, vous choisissez soit de déplacer un personnage qui est seul, soit de résoudre un combat dans une pièce où se trouvent plusieurs personnages. La résolution du combat se fait selon un mécanisme particulièrement élaboré : vous choisissez simplement celui qui est occis ! Les trépassés s'alignent peu à peu et quand il ne reste qu'un seul survivant, on fait les comptes, les derniers morts rapportant plus de points que les premiers. Si vous êtes particulièrement poissard ou transparent, vos deux personnages secrets seront ceux qui ont été tués les premiers, ce qui aura le double effet de vous rapporter zéro point et de bien faire rire vos adversaires.

Le succès de ce jeu tient à l'extrême simplicité de ses règles. Que faut-il faire pour gagner ? Éviter ou remporter les massacres, ne pas se faire repérer et user d'un peu de tactique vers la fin du très court temps que dure une manche. Autant dire que certains, dont le webmestre de ce site, sont particulièrement mauvais à ce type de jeu. Ce qui n'empêche pas d'admirer ceux qui y gagnent inlassablement.

Successeur, semblable

Bibliographie

  • Plato n° 44 Afficher le sommaire
    des jeux abordés
    dans « Plato n° 44 »
                 

Vous n’êtes pas connecté(e)

Déjà membre : Connectez-vous ou demandez un mot de passe
Pas encore membre : Créez un compte
 

François Haffner
18 novembre 2012