Titre

Camelot

alias Ivanhoe
Auteur Reiner Knizia  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’auteur
Éditeurs Asmodee  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur

F.X. Schmid  
GMT Games  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année 1993
Joueurs 2 à 5
Public enfants, ados, adultes
Durée 45 min
Caractéristique cartes
Thèmes bagarre et baston, histoire, Moyen Âge
Emplacement tiroirs du rayon C
Règle du jeu
Ressources


Le jeu sur
BDML


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Enfant aveugle


Le jeu sur
Jedisjeux


Le jeu sur
Jeux à thème


Le jeu sur
Club de La Rochelle


Le jeu sur
Jeux de NIM


Le jeu sur
Tric Trac


Le jeu sur
Wikipédia fr
                 

Parfois, une boîte contient plusieurs jeux. Reiner Knizia est passé maître dans un autre art : faire plusieurs boîtes avec une seule et même création.

Attacke est sorti en 1993, pour le public allemand. Ivanhoe est sorti en 2000, pour le public anglo-saxon. Camelot est sorti en 2002, pour le public francophone. Si vous avez déjà l'un d'entre eux, inutile donc de vous précipiter pour acheter le dernier Knizia !

      

Cette création, quelle que soit son édition, est un réel bon jeu de cartes. Ici, pas de levées ou d'action en simultané. Chacun pose des cartes devant lui jusqu'à être le plus fort, ou abandonne le combat. Il y a des cartes de force et des cartes de supporters. Le combat de chevalerie se déroule à cheval, à pied avec une arme ou à mains nues. Bien entendu, dès qu'un chevalier perd son cheval, ses adversaires descendent du leur : un minimum de civilité s'impose !

   

Les supporters, écuyers ou damoiselles, apportent des points, quel que soit le type de combat. Mais si vous abandonnez le combat en présence d'une damoiselle, vous perdez un des trophées que vous aviez gagnés : ça ne se fait pas de perdre ainsi la face devant une jouvencelle.

Camelot est vraiment convaincant, avec un thème tout à fait approprié. En jouant, vous avez l'impression d'y être. Je ne suis pas un farouche partisan des thèmes, préférant nettement un bon mécanisme au thème artificiel, à un mauvais au thème réussi. Mais quand un jeu parvient à réunir les deux qualités, il faut sauter dessus.

Si vous avez la boîte étasunienne, vous trouverez en téléchargement les règles françaises illustrées et mises en page, ainsi qu'une planche d'étiquettes pour adapter votre jeu en français.

Sinon, je ne peux que vous conseiller la version française, Camelot, aux illustrations nettement plus truculentes.

Bibliographie

  • Plato n° 12 Afficher le sommaire
    des jeux abordés
    dans « Plato n° 12 »
                 

Vous n’êtes pas connecté(e)

Déjà membre : Connectez-vous ou demandez un mot de passe
Pas encore membre : Créez un compte
 

François Haffner
avant 2009