Titre

Jeu des assassins

alias Killer
Auteur non mentionné  
Éditeurs domaine public  
Descartes Éditeur  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur

Steve Jackson Games  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année années 60
Joueurs 8 à 50
Public ados, adultes
Durée 7 h
Mécanisme ambiance
Thème gangsters, policiers
Emplacement bibliothèque
Ressources


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Tric Trac


Le jeu sur
Wikipédia fr

On ne connaît pas précisément l'origine du Jeu des assassins, également connu sous son nom anglophone de Killer.

Proche dans son esprit du jeu de rôles grandeur nature, le Jeu des assassins peut se dérouler sur une durée de temps assez longue et sur un espace important.

Le jeu se pratique sous la férule d'un organisateur qui crée un cercle des assassins. Chacun reçoit le nom d'un autre participant qu'il doit éliminer. Un joueur éliminé remet à son « assassin » son propre objectif qui devient alors le nouvel objectif de ce dernier. Le cercle va ainsi se restreindre peu à peu jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un seul joueur, le vainqueur. De nombreuses règles peuvent se greffer sur ces principes de base.

Très en vogue dans les années 1980, le jeu a connu plusieurs adaptations commerciales. La plus connue est celle publiée en 1981 par Steve Jackson Games et traduite en français par Descartes Éditeur.


En fouillant dans mes archives, j'ai retrouvé l'édition anglaise de 1982 avec la traduction que j'avais alors tentée.

Le jeu a connu de nombreux déboires, essentiellement dus à des joueurs pris pour de véritables gangsters. Il est primordial de tout mettre en œuvre pour que le Killer ne se transforme pas en tragique fait divers. N'importe qui ne peut donc pas s'improviser organisateur : il faut bien délimiter les lieux et temps, et rendre impossible tout incident, en particulier avec des personnes extérieures au jeu. Il est, par exemple, fortement recommandé de ne pas utiliser d'objets pouvant être confondus avec de véritables armes et pouvant entraîner des méprises dramatiques.

 

François Haffner
13 mars 2011