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Titre | Bunny Kingdom |
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Auteur | Richard Garfield | |||
Éditeur | Iello Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2017 | |||
Joueurs | 2 à 4 | |||
Public | ados, adultes | |||
Durée | 1 h | |||
Caractéristique | cartes | |||
Mécanismes | draft (présélection), partage territorial | |||
Thèmes | animaux, animaux de la ferme, lapins, lièvres | |||
Emplacement | étagères du rayon B | |||
Règle du jeu | ||||
Vidéorègle | ||||
Ressources | ||||
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Bunny Kingdom est un intelligent mélange de draft et de partage territorial. Selon les cartes que vous choisirez de garder, vous pourrez réaliser toutes sortes d'actions : prendre possession de territoires pour créer ou agrandir des fiefs, embellir vos fiefs en posant des châteaux, relier des régions, ajouter des ressources ou parier sur l'avenir. Le souci, c''est qu'à chaque fois, vous ne pouvez garder que deux cartes et que vous savez que celles que vous transmettez à votre adversaire pourraient lui être bien profitables. Comme dans beaucoup de jeux où l'on transmet des cartes à ses voisins de droite ou de gauche, c'est avec ceux-ci que l'interaction est forcément la plus importante. Lorsqu'on joue à 4, on n'a que peu de relations avec l'adversaire qui nous fait face. Peut-être serait-il dès lors une bonne idée de décider de jouer en équipes, chacun étant associé au joueur qui lui fait face. Il devient alors tentant de transmettre une carte dont on pense qu'elle lui sera profitable si l'on juge que l'adversaire qui le recevra aura peu de chance de la garder. |
Bibliographie
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François Haffner Paul Lequesne 28 juillet 2019 |