|
||||
Titre | Busanga |
|||
alias | Counterpoint | |||
Auteur | Victor Lucas | |||
Éditeur | Sentosphère Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
|||
Année | 2020 | |||
Joueurs | 2 à 4 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 30 min | |||
Caractéristiques | non vu ailleurs, cartes, variante | |||
Mécanisme | gain par score | |||
Thèmes | Afrique, animaux, animaux sauvages, éléphants, girafes, grands félins, hippopotames, lions, rhinocéros, singes et lémuriens | |||
Emplacement | étagères du rayon B | |||
Boulogne-Billancourt | Gobelet d’argent 1993 | |||
Site officiel | ||||
Règle du jeu | ||||
|
Busanga n'est pas le premier jeu de société à remplir sa boîte avec quelques poignées de figurines d'animaux en plastique. La Loi de la savane, par exemple, l'avait déjà fait pour un jeu totalement sans hasard. Dans Busanga, chaque joueur va se charger de protéger deux ou quatre espèces, selon le nombre de participants, en les plaçant dans l'une ou l'autre des seize réserves africaines présentées au centre du plan de jeu. Sur chaque réserve, on peut préserver jusqu'à trois animaux de même espèce ou non. Pour cela, il faut jouer de sa main une carte avec le numéro correspondant à cette réserve. Chaque animal préservé rapporte de 1 à 6 points.
Après avoir posé sa carte, et protégé un de ses animaux si c'est possible, le joueur actif doit déplacer le totem sur la piste extérieure, du même nombre de cases que le numéro de la réserve. La case atteinte s'impose au joueur suivant. parfois, elle présente un avantage, parfois une contrainte. Le joueur actif doit donc choisir judicieusement laquelle des trois cartes en main il joue, pour marquer des points et, si possible, ne pas trop avantager le joueur suivant. Le jeu fonctionne très bien. Le hasard est important mais est adapté à un jeu court et familial. Si vous voulez un peu moins de hasard, essayez la variante de l'Escale à jeux. Variante Escale à jeuxIl est fréquent qu'un joueur subisse la malchance du fait de mauvais tirages de cartes. Pour égaliser un peu les chances, nous vous proposons une variante simple. On tire les deux premières cartes de la pioche et on les place face visible à côté de la pioche face cachée. À son tour, et à condition que son pion massaï soit le seul sur sa case de score, un joueur peut choisir de jouer une de ces deux cartes au lieu d'une carte de sa main, mais il devra d'abord « payer » pour cela en reculant son pion massaï sur la piste de score, jusqu'à le ramener sur la case juste antérieure au pion massaï qui le suit. Puis il remplace la carte utilisée par la carte du dessus de la pioche. Cette possibilité n'est offerte qu'à partir du deuxième tour de jeu. Le joueur qui est seul dernier sur la piste de score, ou qui est sur la case juste devant le joueur qui le suit au score, peut donc prendre une carte de la pioche visible sans que cela lui coûte de points. Les autres joueurs, plus en avance au score, ne choisiront cette possibilité que si le gain escompté compense largement la perte. On peut compléter cette variante en décidant qu'il ne peut y avoir qu'un seul pion massaï par case de score — sauf au départ — et qu'un pion massaï qui doit avancer sur une case déjà occupée se place en fait sur la case juste devant celle-ci. |
|
|
Vous n’êtes pas connecté(e) |
François Haffner Paul Lequesne 15 novembre 2020 |