Titre

Coney Island

Auteur Michael Schacht  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’auteur
Éditeur Argentum Verlag  
Année 2011
Joueurs 2 à 4
Public ados, adultes
Durée 45 min
Mécanismes économie, gestion, gain par score
Thèmes parc d’attractions, vacances, tourisme
Emplacement réserve C
Règle du jeu
Ressources


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Le Gîte des ânes


Le jeu sur
Jedisjeux


Le jeu sur
Ludo le gars


Le jeu sur
Myludo


Le jeu sur
Tric Trac
                 
Une présentation par Armelle Cottrant  
Quelques présentations sont rédigées par des amis de l’Escale à jeux, tous fins connaisseurs du domaine des jeux de société. Les notes sont attribuées par le webmestre.

Coney Island… La grande roue du temps s'emballe !

Mais pourquoi donc les jeux tournent et tombent-ils si vite dans l'oubli ? J'avoue avoir acheté Coney Island en solde parce que la boîte était belle et son auteur bien connu.

A l'ouverture, forte déconvenue : tuiles mal collées, inutilisables. Je joins le SAV de l'éditeur… Jeu trop ancien, pas de pièces. Eh oui, il faut y penser pour les vieux jeux… Et là, miracle : mon vendeur (Parkage pour ne pas le nommer)  m'assure (et me rassure)  que « même en solde, je suis en droit d'attendre un jeu nickel » et me propose de le compléter avec les pièces d'une boîte abimée qu'il a en stock. Alors là, chapeau !

Ce soir, donc, on y joue !

Première impression : la boîte est très évocatrice de la fête foraine, le matériel… Et bien, à part les quelques tuiles attractions (quand même), on ne se sent pas à la fête !

Le plateau central figure des carrés destinés à recevoir des tuiles qui sont elles mêmes des emplacements pour y poser des forains… Et c'est cet agencement de forains et les places qu'ils libèrent sur le placement individuel qui génère points et ressources.

Par contre les plateaux individuels eux sont aussi jolis et dans le même esprit que la boîte, ils affichent les roulottes (ça nous parle ! ) et des forains appelés à rejoindre un à un le parc d'attraction. En plus d'être beaux et assez lisibles, ils font aussi office de mini aide de jeu, nous rappelant les plafonds de stocks de ressources.

Pour une première partie, il faut quand même ingurgiter pas mal de mécanismes simples mais nombreux : 8 actions possibles ! Mais après un ou deux tours, c'est acquis. On comprend vite que le jeu repose sur la limitation : limitation de ressources, chaque action possible qu'une seule fois. Et ce que je n'avais pas vu arriver :  la fin du jeu. Le cadre est grand mais le nombre de tuiles en jeu restreint !

Le plateau central en fin de partie

Super sensations dans ce jeu de calcul permanent. Un peu d’interaction grâce aux tuiles attraction et au placement des forains (on l'a beaucoup joué en défense). On n'a pas vu le temps passer alors que la première partie avec les règles a dépassé 1 h 30. Pas un gros gros jeu mais quand même… Vu le nombre de mécanismes, un jeu à réserver aux habitués !

À voir dans le temps ,si les parties se renouvellent et si les sensations de jeu, hors découverte, restent au rendez vous. On y revient très vite.

Nous y sommes : après plusieurs parties à 2 comme à 4, nous apprécions toujours autant le jeu et ceux qui s'y sont collés avec nous aussi. Pas de souci de renouvellement donc, ce que nous redoutions, vu que tous les éléments du jeu  sont affichés (et limités)… Mais on n'a pas encore exploré toutes ses possibilités, notamment l'accumulation de journaux qui est peut être un bon plan !

Un jeu de Michael Schacht illustré par Dennis Lohausen.

Bibliographie

  • Plato n° 49 Afficher le sommaire
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    dans « Plato n° 49 »
                 

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Armelle Cottrant
9 mai 2021