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Titre | Dix Petits Indiens |
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Auteur | non mentionné | |||
Éditeur | Gay-Play | |||
Année | date inconnue | |||
Joueurs | 2 à 4 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 30 min | |||
Caractéristique | innovation | |||
Mécanisme | mémoire | |||
Thème | littérature | |||
Emplacement | étagères du rayon D | |||
Ressource | ||||
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Dix petits indiens est aujourd'hui le seul jeu de société, à ma connaissance, qui cite nommément Agatha Christie, la reine du roman policier. Le jeu n'est pas basé sur la déduction, mais sur la mémoire. Dix personnages ont été tués de dix façons différentes. On connaît les paires ainsi formées. Par exemple, on sait que Emily Brent a été tuée par une injection de toxique. Dix cartes rouges comportent les noms des dix personnages, tandis que dix cartes bleues comportent les armes utilisées. Il faut trouver les paires. Pour cela, on déplace son pion, on regarde les cartes, et on annonce les paires trouvées. C'est là que se situe la principale originalité du jeu. Un joueur doit
choisir à son tour entre trois possibilités : C'est ce troisième aspect qui est intéressant. Un joueur capable d'une forte concentration aura besoin de noter moins souvent, et sera donc avantagé. Bien entendu, une part de hasard importante subsiste : les veinards trouvent rapidement les paires qui vont ensemble. Mais ce sont les perdants qui prétendent ça ! |
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François Haffner avant 2009 |