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Titre | Djambi pour 3 joueurs |
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Auteurs | Jean Anesto Didier Hallépée Pierre Spindler |
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Éditeur | L’Impensé radical | |||
Année | 1976 | |||
Joueurs | 3 | |||
Public | ados, adultes | |||
Durée | 1 h | |||
Caractéristiques | à fabriquer, jeu de pions, tablier d’hexagones et pions, tablier de 61 hexagones et pions | |||
Mécanismes | enfoirés et autres goujats, gain par élimination | |||
Emplacement | étagères du rayon D | |||
Règle du jeu | ||||
Ressource | ||||
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Le principal défaut du Djambi, c'est qu'il ne se pratique qu'à quatre. La règle prévoit bien qu'on puisse y jouer à trois, mais la situation est alors déséquilibrée. En effet, un joueur se retrouve avec deux voisins immédiats tandis que les deux autres n'en ont qu'un. Pour pallier ce léger défaut, Didier Hallépée a imaginé de jouer à trois sur un tablier hexagonal. Il n'y a donc plus que vingt-sept pièces sur un terrain de soixante-et-une cases, soit un taux d'occupation de 44,3%, très proche de celui du jeu original qui est de 44,4%. Les pièces ne disposent plus que de six directions au lieu de huit, mais cela ne change pas fondamentalement les possibilités. Plus aucune excuse, donc, pour échapper à une partie de Djambi quand on n'est que trois autour de la table. |
Prédécesseur, inspiration
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François Haffner 29 août 2010 |