|
||||
Titre | Fortuna |
|||
Auteurs | Michael Rieneck Stephan Stadler |
|||
Éditeurs | The Game Master Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur Intrafin Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
|||
Année | 2011 | |||
Joueurs | 2 à 4 | |||
Public | ados, adultes | |||
Durée | 1 h | |||
Mécanismes | collecte, économie, gestion | |||
Thèmes | Antiquité, Italie, Rome antique | |||
Emplacement | réserve F | |||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
|
Avec Fortuna, le tandem formé par Michael Rieneck et Stephan Stadler signe un jeu plutôt poids moyen et cependant riche. Les règles s'assimilent facilement et permettent d'entrer rapidement dans le vif du sujet. Pour devenir le parti le plus puissant de Rome, il va falloir jouer sur tous les tableaux. Vous êtes à la fois à la tête d'un domaine agricole, d'une légion et d'un temple. Il est impossible de négliger totalement l'un ou l'autre domaine, mais on est parfois contraint d'en délaisser un temporairement. Chaque tour de jeu est assez limité avec une seule action, très rarement deux. Il faut donc choisir entre cultiver, vendre, engager des légionnaires ou des vestales. Rapidement, on se rend compte que papillonner ne mène à rien. Comme il n'est possible de faire qu'une seule action, il est beaucoup plus rentable de faire des gros coups successifs, par exemple pour engager plusieurs légionnaires ou vendre une grande quantité de blé ou de vin. Pour cela, une chose est indispensable — comme dans de nombreux autres jeux — l'argent ! Beaucoup d'argent permet d'engager plusieurs acolytes à la fois, de jouer avant les autres, de se payer des bâtiments utiles. Et pour gagner de l'argent, il n'existe qu'une méthode : faire fructifier ses terres. Les mécanismes de Fortuna sont intéressants, sans être vraiment complexes. Les parties sont rapides, et l'interaction très présente, ce qui est trop rares dans les jeux récents. |
|
|
Vous n’êtes pas connecté(e) |
François Haffner 23 octobre 2011 |