|
||||
Titre | Hello, Dolly ! |
|||
Auteur | Pak Cormier Cliquez pour accéder au site officiel de l’auteur |
|||
Éditeurs | publié sur la toile Nestorgames Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
|||
Année | 2010 | |||
Joueurs | 2 à 3 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 30 min | |||
Caractéristiques | à fabriquer, jeu de pions, tablier hexagonal de triangles | |||
Mécanismes | combinatoire, maîtrise | |||
Thèmes | animaux, animaux de la ferme, moutons | |||
Emplacement | tiroirs du rayon H | |||
Site officiel | ||||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
|
2010 : publication sur le webJ'ai eu la chance de recevoir des mains de l'auteur un exemplaire d'Hello, Dolly ! pour ma collection de jeux. J'ai ainsi pu jouer sans attendre l'édition par Nestorgames. Je crois d'ailleurs que je préfère le modèle artisanal. L'idée du jeu : ramener le premier cinq moutons à la bergerie. Pour cela, il faut les mener jusqu'au chemin du berger, au centre du plan de jeu. Et ce n'est pas chose aisée, puisqu'ils avancent sur les intersections, en ligne droite, jusqu'à rencontrer un obstacle, un bord du terrain ou un autre mouton. Le nombre d'intersections parcourues conditionne le mouvement ultérieur du berger, qui arpente son chemin d'autant de cases. Tout l'art est de faire arriver le berger sur une case dont les trois sommets sont occupés par des moutons, de préférence de sa propre couleur. Ces trois moutons rentrent alors à la bergerie. Hello, Dolly ! est totalement sans hasard, ce qui n'empêche pas les parties d'être courtes et animées. On a un peu de mal au début à ramener les moutons mais, rapidement, ceux-ci se précipitent vers le berger. Les joueurs se lancent alors dans de savants calculs pour amener le berger exactement sur la bonne case. Un excellent jeu qui mérite d'être connu. Bravo ! 2012 : édition chez NestorgamesBelle édition avec des moutons peut-être un peu trop grands (ou un plan de jeu un peu trop petit). Compter les moutons sans s'endormir, un challenge pour amateurs de bons jeux combinatoires. |
|
|
Vous n’êtes pas connecté(e) |
François Haffner 9 juin 2013 |