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Titre | Le Jeu d’Albert |
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alias | Lotrium | |||
Auteur | Albert Raguénès Cliquez pour accéder au site officiel de l’auteur |
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Éditeur | Kerlud Édition Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2002 | |||
Joueurs | 3 à 5 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 15 min | |||
Caractéristiques | jeu de pions, tablier rectangulaire et pions, tablier rect. N x N+2 et pions | |||
Mécanisme | nombres et chiffres | |||
Emplacement | archives J | |||
Ressource | ||||
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Albert Raguénès avait intitulé son jeu Lotrium, mais tous ses amis persistant à l'appeler Le Jeu d’Albert, il a succombé à son tour. Le nom original n'apparaît plus qu'en tout petit en bas de couverture.
La présentation est spartiate. La boîte en bois comporte le tablier de jeu en fond, ainsi que cinq chevalets en carton et quatre-vingts pions. Bien entendu, Albert les a réalisés dans la mousse qu'il affectionne tant, et qui est un peu la marque de fabrique de ses créations. Le Jeu d’Albert est une sorte de jeu de dominos. Les pions sont intégralement distribués, et chacun en reçoit sa part. Il va falloir s'en débarrasser en formant des groupes de trois pions qui se suivent, et qui seront ensuite placés sur le tablier. Comme il n'y a que six bases de construction, il faut agir finement pour se défaire au plus vite de pions qui peuvent devenir de véritables boulets. Quand, par exemple, on aura posé 11-12-13 et 16-17-18, ceux qui possèdent sur leur chevalet le 14 et le 15 peuvent commencer à envisager d'en faire des confitures. En revanche, poser le troisième pion d'une série permet de rejouer. Bien sûr, le hasard intervient beaucoup dans le tirage des pions. Mais certains s'en sortent toujours mieux que d'autres… |
Ressource |
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François Haffner avant 2009 |