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| Titre | Last Message |
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| Auteurs | Giung Kim Juhwa Lee |
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| Éditeur | Iello site officiel de l’éditeur |
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| Année | 2021 | |||
| Joueurs | 3 à 8 | |||
| Public | enfants, ados, adultes | |||
| Durée | 15 min | |||
| Caractéristique | tableau effaçable | |||
| Mécanismes | ambiance, gain par déduction | |||
| Thème | policier | |||
| Emplacement | étagères du rayon L | |||
| Règle du jeu | ||||
| Ressources | ||||
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Il y a des jeux qui font réfléchir. Last Message fait paniquer. Et c’est très bien comme ça. On se retrouve autour d'une table avec un mort, un crime, et surtout très peu de temps. Le mort aimerait parler, mais il ne peut que dessiner, écrire trois mots, tracer des idées qui partent dans tous les sens le temps d'un court sablier. Trente secondes, c’est court. Trop court pour être clair. Juste assez pour être confus. En face, le coupable regarde tout ça avec calme. Il efface. Il enlève des cases, des indices, des bouts de sens. Et les autres essaient de comprendre avec ce qui reste. Ils doutent, ils débattent, parfois ils s’emballent pour un détail qui n’en est pas un. Le succès de Last Message vient de ce joyeux bazar. On rit, on se trompe souvent, et on rejoue presque toujours. Ce n’est pas un jeu parfait mais c’est un jeu vivant. Et ça suffit, non ?
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