|
||||
Titre | Maya Code |
|||
Auteur | non mentionné | |||
Éditeur | Creanet | |||
Année | 1984 | |||
Joueurs | 2 à 4 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 30 min | |||
Caractéristiques | par équipe, variante | |||
Mécanismes | gain par arrangement, maîtrise | |||
Thèmes | Amérique précolombienne, histoire | |||
Emplacement | réserve M | |||
Règle du jeu | ||||
Ressource | ||||
|
Amateur de jeux d'alignements, je ne pouvais pas rester insensible au charme de Maya Code. C'est pourquoi il a intégré ma collection. Les règles, que vous trouverez en lien, mériteraient de figurer au palmarès des règles les plus incompréhensibles. Mais Maya Code n'est pas sûr de gagner, car les prétendants sont nombreux ! On finit cependant par comprendre comment jouer. Oublier immédiatement la variante proposée avec les codes à cinq pions : vous partiriez dans une partie d'une longueur d'autant plus effroyable que le jeu est ennuyeux. Car le fond du problème, c'est qu'on ne s'amuse pas. Et le mode à trois pions n'est guère plus intéressant. C'est donc avec la variante à trois jetons qu'il faut jouer. Malheureusement, Maya Code présente très vite ses limites. Il est pratiquement impossible de réussir un alignement, puisque celui-ci doit correspondre exactement à « couleur 1 - doré - couleur 2 ». Dès que deux jetons sont vaguement alignés, il suffit de boucher le troisième emplacement. Quelques double-menaces sont possibles, mais les parties restent terriblement ennuyeuses. Quand on finit enfin par gagner une manche, on remporte un maximum de 24 points, dans le meilleur des cas. La règle dit que pour gagner la partie, il faut cumuler 84 points. Je doute que les joueurs aient le courage d'aller jusque là. Variantes Escale à jeuxVariante 1 : déclarer que le vainqueur est le premier qui parvient à créer son code. Variante 2 : inventer un autre jeu avec ce joli matériel. |
|
|
Vous n’êtes pas connecté(e) |
François Haffner 27 mars 2011 |