Mort ou Vif

Mort ou Vif s'apprend très facilement. Si vous savez jouer au Rami, vous n'êtes pas loin de savoir jouer à Mort ou Vif qui en est un descendant direct.

Les joueurs reçoivent des cartes qui peuvent être des hors-la-loi ou des cartes d'événement. Comme au Rami, il faut poser devant soi des cartes. Lorsqu'un hors-la-loi est joué pour la première fois, il faut en poser au moins trois. Chaque pose de gangster augmente sa valeur de 1000$ par carte posée, mais la première carte ne compte jamais. Si j'ajoute par exemple quatre cartes, la valeur augmente de 3000. Mais si je ne pose qu'une carte, la valeur reste inchangée.

Le fait de poser des cartes modifie également les influences des joueurs sur la capture du bandit. Si un joueur est seul à poser des cartes d'un type, il touchera seul la prime. Mais dès que plusieurs joueurs s'en mêlent, il est possible qu'il faille partager.

Quelques  cartes « Shérif » viennent donner du piment en ajoutant des points de capture ou en perturbant la bonne marche du jeu. Heureusement, Wyatt Earp est là ! Le vaillant justicier vous protège de vos ennemis ou vous permet de les corriger… Wyatt Earp est également le nom de l'édition allemande de Mort ou Vif, chez Alea.

Mort ou Vif, c'est comme le Rami, mais en mieux que le Rami. Le jeu aura du succès en famille et présentera l'avantage de ne pas trop dépayser les joueurs de cartes qui retrouveront plusieurs mécanismes et tactiques déjà connus.