Titre

Pastiche

Auteur Sean D. MacDonald  
Éditeurs Asyncron Games  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur

Blackrock Games  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur

Fred distribution  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année 2011
Joueurs 2 à 4
Public ados, adultes
Durée 45 min
Caractéristique inadapté aux daltoniens
Mécanismes collecte, combinaisons
Thèmes arts plastiques, peinture (art)
Emplacement étagères du rayon P
Site officiel
Règle du jeu
Ressources


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Jedisjeux


Le jeu sur
Myludo


Le jeu sur
Tric Trac


Le jeu sur
Vin d’jeu
                 

L'édition l'internationale de Pastiche, présentée ici, comporte une traduction très correcte en français mais les tableaux et les aides de jeu sont en anglais. Ce n'est pas vraiment gênant mais une édition 100% française, promise par Asyncron Games, serait un plus appréciable.

L'objet du jeu est de reproduire des tableaux de maîtres. Rassurez-vous, on ne va pas vous demander de peindre ! Il suffira de réunir les couleurs d'un tableau pour que celui-ci soit considéré comme réalisé. Ouf ! C'est là qu'intervient le mécanisme central du jeu : la constitution des couleurs à base de palettes ne comportant que rouge, jaune et bleu. En plaçant judicieusement une palette contre celles déjà posées, on pourra obtenir des couleurs nouvelles. Par exemple, le jaune plus le rouge donnent de l'orange. Il est possible de réunir jusqu'à trois doses de couleurs primaires. Par exemple, jaune plus bleu donnent du vert, mais jaune plus jaune plus bleu donnent du turquoise et jaune plus bleu plus bleu donnent la couleur olive. Il est également possible d'échanger des couleurs selon un barème précis pour prendre du noir, du blanc, du gris ou de l'ocre. Enfin, il reste la possibilité de négocier avec les adversaires pour échanger des couleurs librement.

Le but est de réaliser des tableaux dont le total des points est fixé selon le nombre de joueurs. À deux joueurs, par exemple, il faut totaliser quarante-cinq points pour mettre fin à la partie. Quand un joueur réalise deux tableaux d'un même peintre, il marque un bonus qui peut s'avérer important lors du décompte final. Il est donc souvent judicieux de surveiller les tableaux de la pioche puisqu'il est possible d'échanger un des siens contre un de cette pioche.

Les parties et le tour de chaque joueur sont rapides. Il n'est pas rare que les joueurs en redemandent. Le seul point négatif est le coût assez élevé du jeu, mais il est largement justifié par la qualité et la quantité du matériel fourni.

                 

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François Haffner
25 mars 2012