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Titre | Playmobil Alarme ! |
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Auteur | Christoph Cantzler Cliquez pour accéder au site officiel de l’auteur |
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Éditeur | Schmidt Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2004 | |||
Joueurs | 2 à 4 | |||
Public | bambins, enfants, ados, adultes | |||
Durée | 15 min | |||
Caractéristiques | à fabriquer, cartes | |||
Mécanisme | défausse | |||
Emplacement | archives P | |||
Règle du jeu | ||||
Ressource | ||||
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Inutile de chercher un Playmobil dans la boîte de Playmobil Alarme ! : il n'y en a pas. L'univers des figurines, créé par Hans Beck Le jeu est composé de vingt-quatre cartes « Objet » et de neuf cartes « Lieu d'intervention ». Les vingt-quatre cartes représentent douze objets, chacun deux fois. Les neuf cartes de lieu ont besoin chacune de quatre objets différents, soit au total trente-six objets. En y regardant de plus près, on constate que chaque objet est nécessaire sur trois lieux d'intervention. Le but du jeu est d'avoir, à la fin de la partie, le moins de cartes en main possible. Mais il ne faut pas se faire éliminer avant la fin de partie, ce qui arrive si on ne peut pas jouer. On distribue les vingt-quatre cartes à égalité entre les joueurs. Chacun à son tour pose de une à trois cartes à côté d'un lieu. Elles doivent bien sûr correspondre à ce qui est demandé sur ce lieu. Lorsqu'un joueur pose la quatrième, il prend en main les quatre cartes du lieu et ce dernier est défaussé. Un joueur qui ne peut pas jouer est éliminé. Lorsque le dernier lieu est défaussé, le joueur encore en lice qui a le moins de cartes en main a gagné la partie. Playmobil Alarme ! est un jeu certes poids plume, mais beaucoup plus subtil que ne le laisse penser sa présentation. Jouer avec un jeu de cartes ordinaireIl est tout à fait possible de jouer à Playmobil Alarme ! avec un paquet de cartes ordinaire. Il suffit de récupérer vingt-quatre des cinquante-deux cartes d'un jeu standard : de l'As au 3 dans deux couleurs. Vous pouvez fabriquer les neuf cartes de lieu que vous trouverez à la suite des règles du jeu. |
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François Haffner 1er mars 2009 |