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Titre | Power Struggle |
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Auteur | Maximilian Thiel | |||
Éditeurs | Eggertspiele Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur Iello Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2009 | |||
Joueurs | 3 à 5 | |||
Public | ados, adultes | |||
Durée | 2 h | |||
Mécanismes | économie, gestion, enfoirés et autres goujats, objectif secret | |||
Thème | humour, dérision | |||
Emplacement | réserve P | |||
Deutscher Spiele Preis | 10e Prix 2010 | |||
Site officiel | ||||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
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Power Struggle se situe dans le monde des affaires. Le but n'est cependant pas d'enrichir sa société, mais d'en tirer le meilleur parti pour soi-même. Chaque joueur dirige une équipe de cadres. Pour eux, tous les moyens sont bons pour acquérir pouvoir et richesse. Les adversaires ne sont donc pas les autres sociétés, mais les collègues, qu'il va falloir surpasser. Concrètement, il faut parvenir à gagner quatre points de victoire, sur les six possibles. Chacun choisit assez librement dans quels domaines il va exercer ses talents : accumulation de stock-options, influence, corruption active et passive, pantouflage dans une agence de consultant externe… Ne cherchez aucune morale à ce jeu : il n'en a pas. Pour gagner, il vous faudra faire des charrettes de licenciements, corrompre et être corrompu, démissionner avec fracas pour créer un cabinet de conseil, monter des services, les restructurer et, bien sûr, profiter du confort des fauteuils du conseil d'administration. Le thème, perversement réjouissant, est parfaitement rendu par les mécanismes un peu complexes, mais très bien expliqués. Chacun dispose d'une aide de jeu très complète : elle lui permet de comprendre le fonctionnement de l'entreprise, et comment y faire carrière pour son plus grand bien personnel. Bien entendu, tout cela est ironique. Dans la vraie vie, chacun place évidemment l'intérêt de son entreprise avant le sien propre. Bien entendu.
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François Haffner 24 octobre 2010 |