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Titre | Port Royal |
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Auteur | Wolfgang Panning | |||
Éditeur | Queen Games Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2000 | |||
Joueurs | 3 à 4 | |||
Public | ados, adultes | |||
Durée | 1 h | |||
Mécanismes | enchères, levées | |||
Thèmes | bateaux, transports | |||
Emplacement | réserve P | |||
Spiel des Jahres | Sélectionné 2000 | |||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
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Le thème des bateaux et des pirates est assez en vogue actuellement. Port Royal est donc naturellement décoré par ce thème, mais se révèle en fait un jeu de cartes et de plis, mâtiné de quelques enchères.
Chacun reçoit 8 cartes qui vont lui permettre de gagner des plis, et ainsi remporter la carte de butin mise en jeu. Deux cartes supplémentaires constituent un « chien » visible. Les joueurs enchérissent pour acheter ce chien, ainsi que le droit de désigner l'atout, la carte qui sera vendue en premier, et le joueur qui attaquera le pli. Le principe du jeu de la carte est intéressant. Lorsqu'une couleur est attaquée, personne n'est obligé d'en fournir. On peut donc fournir du bleu sur du rouge, mais sans espoir de faire la levée, pour défausser ou ne pas gâcher une carte intéressante. On peut couper, mais seulement si on ne possède plus de la couleur demandée. Chaque fois qu'un joueur emporte un pli, il désigne la prochaine carte à vendre, et le joueur qui commence à jouer. Les cartes une fois gagnées sont placées dans un des bateaux du joueur. Chaque bateau a sa spécialité : tabac, rhum etc. Le jeu de carte est assez complexe et bien fait. Plusieurs principes originaux y apparaissent. Peut-être même trop. Malheureusement, l'esthétique poussée des cartes, plus belles à voir qu'à jouer, et toutes en marron sur fond marron, rend le jeu totalement illisible et gâche énormément le plaisir du jeu. Un jeu qui manque certainement de simplicité et de clarté pour rencontrer le succès. |
Ne pas confondre…
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François Haffner avant 2009 |