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Titre | Rainbow7 |
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Auteurs | Antoine Davrou Alexandre Emerit |
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Éditeurs | Ghost Dog Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur Superlude Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2022 | |||
Joueurs | 2 à 5 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 30 min | |||
Caractéristique | cartes | |||
Mécanismes | défausse, stop ou encore | |||
Emplacement | tiroirs du rayon R | |||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
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Dans la plupart des jeux de défausse, il faut essayer de se défaire de toutes ses cartes pour remporter une manche. Dans Rainbow7, il y a deux façons de terminer une manche, et c'est cette alternative – directement inspirée du Gin rami comme me le fait remarquer mon ami Paul – qui donne tout son intérêt au jeu. Vous pouvez terminer une manche en défaussant vos toutes dernières cartes, auquel cas tous vos adversaires subissent une petite pluie (1 jeton). Mais vous pouvez aussi terminer une manche avec encore quelques cartes en main, si la valeur totale de ces cartes en main ne dépasse pas 7 points. Ce faisant, vous prenez un risque : celui qu'au moins un adversaire possède une main de valeur inférieure à la vôtre. Si c'est le cas, vous subirez un orage (3 jetons). Mais si vous avez réussi votre pari, vous faites subir une averse (2 jetons) à tous vos adversaires. Quelques cartes ont des pouvoirs particuliers qu'il faut utiliser à bon escient. Dès qu'un joueur possède au moins 7 jetons, c'est celui qui en possède le moins qui gagne. Alors, on se mouille ? |
Prédécesseur, inspiration
Bibliographie
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François Haffner 10 avril 2022 |