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Titre | Secrets & Folie’s |
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alias | Girl Talk | |||
Auteur | non mentionné | |||
Éditeurs | F.X. Schmid MB Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 1988 | |||
Joueurs | 2 à 8 | |||
Public | enfants, ados | |||
Durée | 1 h | |||
Caractéristiques | pièce de musée, pour nanas, vidéo en ligne | |||
Mécanismes | ambiance, expression | |||
Emplacement | réserve S | |||
Deutscher Spiele Preis | 6e Prix 1991 | |||
Règle du jeu | ||||
Ressource | ||||
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Secrets & Folie’sSecrets & Folie’s s'adresse manifestement à un public d'adolescentes boutonneuses. Mais il a le mérite immense d'aller au fond du sujet, en proposant quelques principes qui m'ont bien amusé. Les concepteurs se sont laissé aller à une douce fantaisie avec ce titre qui se situe quelque part entre le premier et le second degré. À première vue, on est devant un jeu de questions, prétextes à de petites confidences entre copines. Mais Secrets & Folie’s aborde ces sujets avec humour et dérision. Il vous faut répondre à des questions ou réaliser des épreuves. Si vous gagnez, tout va bien. Sinon, ou si vous refusez par exemple de répondre à une question jugée gênante, vous récoltez un bouton ! La boîte propose en effet quatre-vingt-seize pastilles autocollantes rouges, pour les perdantes ou les mauvaises joueuses. Parfois, vous tombez sur une case « Prends une carte ». Ces cartes comportent toutes une qualité ou un défaut. Vous devez les lire en secret et les attribuer, toujours en secret, à vos copines ou à vous-même. À la fin de la partie, seule la gagnante pourra regarder les cartes qui lui ont été données. Elle sera ainsi ravie d'apprendre que ses copines lui ont donné :
Elle saura ainsi comment elle est perçue par ses amies ! À mon avis, un des meilleurs jeux dans sa catégorie. Vous êtes une fille ? Vous connaissez une fille ? Il vous faut Secrets & Folie’s. Girl TalkLa version primée en Allemagne n'avait pas les petits boutons à se coller sur le visage en cas de mauvaise réponse. Sans eux, le jeu perd, à mon avis, beaucoup de son charme. C'était en 1997 et c'est sur l'Ina |
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François Haffner 6 juillet 2008 |