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Titre | Steam Tunnel |
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Auteur | James Ernest | |||
Éditeur | Cheapass Games Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2003 | |||
Joueurs | 2 à 5 | |||
Public | ados, adultes | |||
Durée | 15 min | |||
Mécanismes | gain par score, majorité | |||
Thème | science-fiction | |||
Emplacement | étagères du rayon S | |||
Règle du jeu | ||||
Ressource | ||||
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Fan de jeux de connexion, je ne pouvais pas passer à côté de Steam Tunnel sans l'acquérir, d'autant plus que son prix est tout à fait modique — c'est un Cheapass Games — aux alentours de 5 €.
Steam Tunnel consiste en un paquet de quarante-huit cartes. Il vous faut ajouter, comme le précise la règle, deux à cinq joueurs, des pions, un papier et un crayon. Au début de la partie, les cartes, qui représentent des chemins de tunnel, sont retournées face cachée sur la table. À tour de rôle, les joueurs retournent une carte, puis ont le choix entre poser un marqueur sur une portion de tunnel ou sur une carte cachée. Un pion sur un tunnel a pour but de prendre possession de ce tunnel, dont les points seront attribués au plus gros actionnaire, c'est-à-dire à celui qui aura posé la majorité des pions. Il est toutefois interdit de poser un pion sur un tunnel terminé ! Ce serait en quelque sorte un délit d'initié. Un pion sur une carte cachée a comme conséquence de geler cette carte. Elle ne pourra pas être retournée, et tous les tunnels qui y accèdent sont censés continuer tout droit. Un compromis équilibré entre hasard et calcul fait de Steam Tunnel un des meilleurs jeux de connexion à ma connaissance. La méthode de décompte est un peu tarabiscotée, et en rebutera certains. Bien sûr, le prix faible du jeu a une contrepartie : les cartes sont assez moches, en gris et blanc, sans aucune fioriture. Mais la qualité des règles est là, et c'est bien l'essentiel. |
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François Haffner avant 2009 |