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Titre | Trépido |
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alias | Ciao! Défifoo jaune |
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Auteur | Olivier Finet | |||
Éditeurs | Défifoo Défifoo - collection Jeu en sac Gigamic Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur Hasbro Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2001 | |||
Joueurs | 2 à 6 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 30 min | |||
Caractéristique | cartes | |||
Mécanismes | carte à suivre, défausse, prise à domination circulaire | |||
Emplacement | tiroirs du rayon T | |||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
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2001 : Trépido chez HasbroTrépido n'est pas vraiment original, puisqu'il reprend, comme Uno, Solo, et de nombreux autres, le principe du 8 américain. Les cartes répondent à deux hiérarchies : la couleur, et l'ordre désormais classique Pierre-Feuille-Ciseaux. Chaque carte posée doit être supérieure à la précédente. De plus, certaines d'entre elles comportent des instructions spéciales, qui perturbent le cours de la partie en permettant de rejouer, de faire piocher des cartes aux adversaires ou d'échanger sa main. La plus intéressante est assurément la carte de rapidité qui permet au premier joueur qui réagit de poser une carte adéquate, même si ce n'est pas son tour. Le plus curieux dans Trépido, c'est le sabot. Il est orné d'un magnifique logo en forme de borne kilométrique, qu'il est assez curieux de trouver dans un jeu Hasbro ! 2006 : Défifoo jaune chez Défifoo« Non, mais je le connais, ce jeu ! Hasbro me l'avait
envoyé en double exemplaire parce que j'avais perdu, euh… non, gagné à
un concours. Si, si, je dois l'avoir quelque part ! Je ne suis pas certain
d'y avoir joué, mais en tout cas, je l'ai tellement bien rangé que cela
fait au moins quatre ans que je ne l'ai pas vu. Comment ça ? Tu ne me
crois pas ? Attends, un concept aussi inventif que pierre-feuille-ciseaux,
ça ne s'oublie pas ! Tiens, laisse-moi deux secondes, que je te trouve son
nom sur Internet. Paf ! Trépido,
même, qu'il s'appelle ! Ah bon ? C'est pas exactement le même ? Bon, ben
OK, on s'y colle alors… ». Une fois surmonté l'instinct de rejet que peut éprouver un adulte
lorsqu'il découvre qu'un jeu de mains enfantin gratuit a été
transformé en jeu de cartes payant, force est de constater que Défifoo jaune n'est pas un simple pierre-feuille-ciseaux, mais un vrai jeu de
cartes qui s'inspire du Uno et des jeux de 8 américain.
Le thème qui illustre le sac de toile n'est là que pour
justifier le caractère torique Contrairement à ce que l'on pourrait penser de prime abord, Défifoo jaune est peut-être le jeu de la série Défifoo dont les règles sont les plus complexes : trois types de jokers, des cartes injouables à refiler au voisin, cinq types de cartes d'événements, dont certaines permettent de choisir entre plusieurs actions ou sont à effet conditionnel, deux types de relations (torique pour les symboles ou de simple hiérarchie pour les couleurs Vert < Jaune < Rouge). Loin d'être reposant, le jeu est mentalement épuisant. Mais les enfants l'apprécient. Du coup, on se sent vieux, et on déprime sérieusement. « Comment ça dans la règle ils disent qu'il faut faire dix parties ? Nan mais t'es pas bien dans ta tête, toi ! On en a fait une pendant 25 minutes et je suis déjà lessivé. Tiens, je vais aller lire un bouquin de physique quantique pour me changer les idées. Et puis de toute façon, le carnet de marque est limité à sept parties. Et toc ! ». 2015 : Ciao! chez GigamicJamais deux sans trois ! Ciao! est la troisième édition du même jeu chez un troisième éditeur avec un troisième nom. À part ça, rien ne change vraiment, sauf les illustrations. |
Prédécesseur, inspirationBibliographie
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Bruce Demaugé-Bost avant 2009 |