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Titre | Vox populi |
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Auteur | Francis Pacherie | |||
Éditeur | Tilsit | |||
Année | 1998 | |||
Joueurs | 3 à 6 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 1 h 30 | |||
Mécanisme | vote | |||
Thèmes | Antiquité, Italie, Rome antique | |||
Emplacement | réserve V | |||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
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Je n'ai pas encore joué à Vox populi. La note et la critique qui suivent sont dues au clan Manzetti, et ses célèbres triplés (quelle chance d'avoir des triplés pour tester les jeux).
« Magouilles, corruptions et combats de gladiateurs ! Dans ce jeu, traité d'une manière humoristique, les joueurs sont les dirigeants de « clubs » de gladiateurs. Leur objectif est de réaliser des combats applaudis dans les arènes des différents politiciens (César, Pompée, etc.) pour augmenter la popularité de ces derniers, et leur offrir ensuite les gladiateurs « adulés ». La partie s'arrête dès que les joueurs n'ont plus de pions ou qu'un politicien atteint la popularité maximum. Le gagnant est celui qui aura offert le plus de gladiateurs au politicien le plus populaire. Chaque joueur dispose de pions à deux faces, numérotés de 1 à 5, d'argent pour organiser les matchs, ainsi que de cartes
aux effets souvent aléatoires. À chaque tour, on place
deux de ses pions. L'un sera gladiateur, il sera posé sur le plan de
jeu représentant les arènes des politiciens. L'autre figure un
groupe de supporters, il sera posé sur le plan de jeu montrant Rome. Les cartes servent à influencer les votes, gagner ou faire perdre de l'argent, faire varier la popularité des politiciens etc. Points positifs : Points négatifs : |
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