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Titre | Wikinger |
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alias | Vikings | |||
Auteur | Michael Kiesling | |||
Éditeurs | Filosofia Hans im Glück Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2007 | |||
Joueurs | 2 à 4 | |||
Public | ados, adultes | |||
Durée | 1 h | |||
Caractéristique | inadapté aux daltoniens | |||
Thèmes | histoire, Moyen Âge, Vikings | |||
Emplacement | étagères du rayon W | |||
Deutscher Spiele Preis | 3e Prix 2007 | |||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
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Wikinger ne prendra pas la poussière ! Une fois passée la difficulté de la lecture des règles, un peu longues mais logiques, on ne se lasse plus de jouer aux vikings. De plus, Wikinger est un jeu à double effet, comme les bonbons Kiss Cool : après avoir fait quelques parties avec la règle de base, on peut essayer la règle avancée, et on se prend alors une seconde claque ludique. Le mécanisme d'attribution des tuiles, la grande roue au centre du jeu, n'est pas une loterie, mais une belle invention qui donne tout son attrait au jeu. Il faut essayer de deviner les intentions adverses, chercher les meilleurs gains et les moindres coûts, mais ne pas non plus offrir de cadeaux aux autres vikings. Ajoutez à cela une sympathique gestion de construction de sa contrée, et vous vous retrouvez avec un jeu incontournable. Wikinger est peut-être d'un abord un peu difficile, mais un pareil jeu se mérite. Les parties courtes et très interactives ne laissent pas vraiment de répit. Chaque partie est différente selon l'ordre d'arrivée des tuiles sur la table. Le comptage des points est un peu compliqué, et c'est peut-être le point le plus faible du jeu. Mais il s'explique cependant très bien, et est totalement cohérent avec le thème.
Au club de Pierre-Bénite, Bruce (en blanc ci-dessus) est un promoteur acharné de Wikinger. Même quand il ne joue pas, il s'assoit à la table où s'affrontent les vikings. |
Bibliographie
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François Haffner avant 2009 |