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Titre | L’Ascenseur |
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Auteur | tradition | |||
Éditeur | domaine public | |||
Année | 1930 | |||
Joueurs | 3 à 7 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 45 min | |||
Caractéristiques | cartes, cartes traditionnelles | |||
Mécanismes | asymétrie, levées, levées annoncées | |||
Emplacement | armoire à jeux | |||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
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L’Ascenseur est un jeu traditionnel de levées. À l'origine de nombreux jeux de cartes modernes, il connaît de multiples noms et variantes. La première caractéristique de L’Ascenseur tient dans l'annonce du nombre de levées que chacun espère réaliser. Au début de chaque manche, chaque joueur doit en effet annoncer le nombre exact de levées qu'il compte emporter. Cette annonce peut être simultanée, mais le plus souvent, elle se fait dans le sens du jeu. Le dernier joueur se voit alors interdire de faire une annonce qui, additionnée aux annonces déjà faites, serait égale au nombre total de levées. Il faut ensuite faire exactement le nombre de levées annoncées. Faire plus ou moins entraîne des pénalités au score. La seconde caractéristique du jeu, qui lui donne son nom imagé, est que le nombre de levées varie à chaque manche. À la première manche, on distribue une carte à chaque joueur ; à la deuxième, deux, etc. Lorsqu'on est arrivé à distribuer toutes les cartes, on diminue ensuite d'une carte à chaque manche. Après avoir joué la dernière manche à une carte, la partie est terminée.
L'ascenseur « sans ascenseur »On ne connaît pas vraiment de nom au même jeu dans lequel on supprime l'effet d'ascenseur pour jouer toujours avec le même nombre de cartes. Plus exactement, on lui connaît de multiples noms. Autour de moi, on a tendance à l'appeler Whist, ce qui entraîne une regrettable confusion avec le jeu traditionnel du même nom. Le principe premier est totalement identique. Mais le fait de toujours jouer avec le total des cartes en main atténue l'effet de surprise de certaines manches à faible nombre de cartes. |
Système de jeu ou compilation utiliséBibliographie
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François Haffner 26 juillet 2009 |