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Titre | La Bête du Gévaudan |
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Auteurs | Pascal Chinchilla Noël Minneboo |
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Éditeur | Riviera Quest | |||
Année | 1990 | |||
Joueurs | 2 à 13 | |||
Public | ados, adultes | |||
Durée | 1 h | |||
Mécanismes | gain par capture, gain par déduction | |||
Thèmes | animaux, animaux fantastiques, fantastique, histoire, Histoire de France | |||
Emplacement | étagères du rayon B | |||
Ressources | ||||
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La Bête du Gévaudan se cache et surgit parfois pour attaquer. On a du mal à la traquer, mais elle apparaît de temps en temps. Elle se déplace sans cesse en empruntant cours d'eau, chemins et routes. Elle a toutefois la courtoisie de dire quel type de trajet elle vient de suivre. De temps à autre, elle joue un coup double ou utilise une carte spéciale qui la dispense d'annoncer son type de trajet. Ça ne vous rappelle rien ? La Bête du Gévaudan est en fait « Scotland Yard en Lozère » ! Les règles du célèbre jeu ont très largement inspiré La Bête du Gévaudan, avec quand même quelques nouveautés intéressantes. Le thème n'est pas anodin, car le jeu est commandité par le département de la Lozère. La bête peut dévorer un de ses poursuivants s'il est isolé, mais dans ce cas, elle apparaît aux yeux de tous. Pour se protéger de la bête, il faut rester à courte distance d'un autre poursuivant. Le terrain n'est pas neutre non plus. Certains points permettent à la bête de se revigorer ; dans la montagne, aucune protection ne fonctionne : c'est le royaume de la bête. Ce qui aurait pu n'être qu'un plagiat s'avère un jeu intéressant, certes largement inspiré, mais nouveau quand même, et permettant de découvrir la carte de la Lozère. Il est assez rare qu'un jeu édité à titre publicitaire ou promotionnel présente de l'intérêt. C'est ici le cas. |
Prédécesseur, inspiration |
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François Haffner avant 2009 |