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Titre | Délirophone |
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Auteurs | Agnès de Lestrade Emmanuel de Lestrade |
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Éditeur | Ravensburger Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2002 | |||
Joueurs | 2 à 6 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 45 min | |||
Caractéristique | vidéo en ligne | |||
Mécanismes | expression, improvisation, théâtre | |||
Emplacement | archives D | |||
Festival de Cannes | Sélectionné 2003 | |||
Règle du jeu | ||||
Ressource | ||||
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Bien sûr, Délirophone fait penser à Carabistouille… à condition de connaître Carabistouille. L'un comme l'autre sont inspirés d'un jeu vieux comme le monde, celui qui consiste à placer un mot incongru dans une conversation. Je jouais déjà à ce jeu dans ma prime jeunesse, donc au temps des dinosaures, comme diraient mes filles. Vous tirez donc trois mots que vous devez placer dans une conversation. Le thème de la conversation est également tiré au sort. Il est rare que les mots et le thème soient en accord, d'où la drôlerie de la situation. La grande et bonne idée de Délirophone c'est le téléphone. Autant il est difficile d'improviser un discours, surtout pour certaines personnes, autant un téléphone débloque la situation. Tout le monde sait téléphoner, on peut réfléchir en simulant une écoute de l'interlocuteur, le discours peut être haché etc. C'était en 2002 et c'est sur l'Ina |
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