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Titre | Draco Mundis |
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Auteur | Christophe Boelinger | |||
Éditeurs | Asmodee Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur Hazgaard |
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Année | 2008 | |||
Joueurs | 2 à 4 | |||
Public | ados, adultes | |||
Durée | 1 h | |||
Mécanisme | points d’action | |||
Thèmes | bagarre et baston, exploration, fantastique, histoire | |||
Emplacement | étagères du rayon D | |||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
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Magnifiquement illustré par Christophe Madura, Draco Mundis fait un peu penser par ses mécanismes à Dungeon Twister, du même auteur. Cependant, le type de jeu est très différent. Draco Mundis est plus un jeu de baston convivial, qui gagne à être joué à plusieurs joueurs. L'objectif est de marquer le plus de points de victoire à l'issue de la partie. On gagne des points en éliminant des pions adverses, et en occupant certaines zones. Le plus fort gain est obtenu en amenant sa journaliste sur un camp adverse. Cela semble aisé au début, car il est interdit d'attaquer la journaliste : on respecte la presse ici. Mais la contrepartie, c'est qu'elle ne peut pas non plus attaquer les autres pions : elle est donc obligée de faire d'importants détours pour parvenir à un camp convoité. L'autre solution est de la faire accompagner d'un gros bras, mais on prend alors le risque de la perdre si elle se retrouve impliquée, malgré elle, dans un conflit lancé par son nervi. Le jeu est vraiment astucieux, et souvent drôle. Un peu long, peut-être. La première partie permet de découvrir les possibilités importantes. En particulier, on s'aperçoit vite que l'essentiel réside dans le positionnement initial. C'est donc lors de la seconde partie qu'on apprécie le plus le jeu. Mon conseil : si vous vous apercevez que vous avez complètement raté votre positionnement de départ, essayez de persuader le joueur qui fanfaronne en tête d'abandonner la partie et d'en recommencer une nouvelle. |
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François Haffner 3 mai 2009 |