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Titre | Indian Summer |
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Auteur | Uwe Rosenberg | |||
Éditeurs | Blackrock Games Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur Edition Spielwiese Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2017 | |||
Joueurs | 1 à 4 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 30 min | |||
Caractéristique | pentominos et polyformes | |||
Mécanisme | gain par arrangement | |||
Thèmes | animaux, animaux sauvages, arbres, écureuils, fruits, plantes | |||
Emplacement | étagères du rayon I | |||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
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On retrouve dans Indian Summer des mécanismes déjà mis en œuvre par Uwe Rosenberg dans l'excellent Patchwork. Après la relative déconvenue ressentie en jouant à Cottage Garden, on pouvait redouter une déception similaire à la découverte de Indian Summer. Heureusement, il n'en est rien. Autant Cottage Garden nous avait laissés dubitatif, autant Indian Summer nous enchante. L'idée directrice reste la même que dans les deux créations de Uwe Rosenberg, à savoir paver une surface à partir de polyminos. Ici, il ne s'agit pas remplir au mieux son tableau mais de le remplir totalement le premier. Il faut donc faire preuve de pragmatisme et ne pas hésiter à recourir à des écureuils pour boucher les trous qui ne manqueront pas d'apparaître ici ou là. La nouveauté du jeu, c'est essentiellement le fait que toutes les pièces ont un jour qui peut laisser visible un symbole du tableau : baie, noisette, champignon ou plume. Plus ont parvient à laisser de symboles visibles, plus on obtient de jetons qui procureront de vrais avantages par la suite en permettant de voler des pièces, d'en poser plusieurs ou de combler des trous. On se laisse d'autant plus facilement prendre au plaisir du jeu que celui-ci est particulièrement beau. Un seul regret : qu'on ne puisse pas y jouer à plus de quatre. |
Bibliographie
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François Haffner 1er avril 2018 |