Titre

Katarenga

Auteur David Parlett  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’auteur
Éditeurs Atalia  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur

Huch!  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année 2017
Joueurs 2
Public enfants, ados, adultes
Durée 15 min
Caractéristiques jeu de pions, tablier carré et pions, tablier 8 x 8 cases et pions, tablier Katarenga, tablier modulaire et pions
Mécanismes cases influentes, échecs, gain par atteinte
Emplacement étagères du rayon K
Site officiel
Règle du jeu
Ressources


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Tric Trac
                 

La présentation de Katarenga rappelle celle de Kamisado. Les deux jeux sont différents mais ils ont le même éditeur et des mécanismes proches.

Le but du jeu est d'occuper les deux camps adverses et, pour pour y parvenir, d'occuper d'abord une case sur la ligne de base adverse sans se faire prendre.

Chaque pion se déplace, selon la case où il se trouve :

  • comme un cavalier s'il est sur une case verte ;
  • comme une tour s'il est sur une case rouge ;
  • comme un fou s'il est sur une case jaune ;
  • comme un roi s'il est sur une case bleue.

Contre un adversaire inattentif, la partie peut être très rapide. Mais rapidement, les joueurs progressent et les parties sont de plus en plus tendues.

La variété des mises en place permet de très nombreuses configurations, chaque quart de tablier comportant deux faces et pouvant donc être posé de 8 manières ce qui peut produire, si mes calculs sont exacts, 98 304 tabliers différents – soit 24 576 tabliers pouvant être présentés à 0°, 90°, 180° ou 270°.

Avec le même matériel, David Parlett a imaginé plusieurs autres jeux dans des domaines variés : alignement, connexion, élimination, atteinte, etc. Ces jeux sont regroupés dans la catégorie tablier Katarenga.

Système de jeu ou compilation utilisé

                 

Vous n’êtes pas connecté(e)

Déjà membre : Connectez-vous ou demandez un mot de passe
Pas encore membre : Créez un compte
 

François Haffner
Paul Lequesne
11 juillet 2021