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Titre | Nobody is perfect |
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Auteur | non mentionné | |||
Éditeur | Ravensburger Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2011 | |||
Joueurs | 3 à 6 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 30 min | |||
Caractéristiques | cartes, variante | |||
Mécanismes | ambiance, imagination | |||
Emplacement | archives N | |||
Règle du jeu | ||||
Ressource | ||||
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Nobody is perfect - Compact est, comme son nom l'indique, la version de voyage de Nobody is perfect. Ce titre, toujours édité en Allemagne, a été publié en français sous le nom C’est du délire, mais il est introuvable depuis plusieurs années. On peut cependant se consoler avec Bluffer, dont la règle et l'humour sont proches. La version de voyage reprend l'esprit de l'original, mais en diffère par plusieurs aspects. Dans C’est du délire, les joueurs devaient imaginer et écrire les réponses à la question posée. Cette capacité à imaginer et à écrire, tout le monde ne la possède pas au même niveau et, de fait, les parties excluaient facilement les joueurs plus introvertis. La qualité de C’est du délire était aussi son défaut. Dans Nobody is perfect - Compact, tout le monde est à égalité, puisque pour répondre aux questions, on doit choisir parmi les cartes qu'on a en main. Les questions peuvent être de deux types : donner la définition d'un mot ou donner le mot qui correspond à une définition. Il s'agit donc de choisir, parmi les cartes en main, celle dont la définition ou le mot correspondra le mieux à la question posée. Comme dans Le Jeu du dictionnaire et tous ses dérivés, on gagne des points à la fois en trouvant la bonne réponse, et en attirant les adversaires sur une judicieuse, mais mauvaise réponse. Nobody is perfect - Compact est livré avec 228 cartes, ce qui permet de jouer un bon moment sans retomber sur les mêmes mots. Variantes Escale à jeuxÀ quatre ou cinq joueurs, on peut facilement accroître le nombre de possibilités en autorisant le questionneur à proposer, lui aussi, une réponse. Le questionneur ne participe pas, bien sûr, au vote. Mais il peut gagner quelques points si sa fausse réponse lui attire des suffrages. À trois joueurs, on peut autoriser le questionneur à poser une carte, tandis que chacun des deux autres joueurs pourra en poser deux. On accroît ainsi les possibilités de se tromper, mais aussi les possibilités de gagner des points. |
Prédécesseur, inspiration
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François Haffner 17 avril 2011 |