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Titre | Phœnix |
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Auteurs | Amanda Greenvoss Zach Greenvoss |
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Éditeur | Eurogames Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2003 | |||
Joueurs | 2 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 30 min | |||
Caractéristique | anciennement dans la collection | |||
Mécanisme | gain par arrangement | |||
Emplacement | hors collection | |||
Ressources | ||||
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Bien que Phoenix soit un jeu à deux joueurs, Descartes ne l'a pas intégré à sa gamme « Game for 2 », mais a choisi de l'éditer dans une boîte moyenne, comme Gouda ! Gouda !.
À la première lecture, on pourrait croire que le but du jeu est d'arranger les pions pour qu'ils respectent le spectre des couleurs. En fait, ce but est pratiquement impossible à atteindre, sauf si le hasard a placé vos pions de départ très proches du but à atteindre. En réalité, le véritable but est de former des groupes homogènes de pions, en utilisant pour cela des cartes de déplacement ou d'échange de places. Les pions sont en bois peint, très agréables. La boîte est d'un goût très kitsch qui peut plaire. Les quelques parties que j'ai faites ne m'ont pas permis d'apprécier ce jeu. La part de hasard est trop importante, et un joueur qui tire une ou deux cartes fatales peut totalement bouleverser la fin de partie. Il existe en effet deux conditions de victoire. La première survient quand un joueur réalise le spectre des couleurs. C'est de fait soit impossible, soit dû à un hasard très favorable, comme un tirage pratiquement ordonné au départ. La seconde condition de fin de jeu est quand la pioche est épuisée. Dans ce second cas, la victoire appartiendra au joueur qui jouera une dernière carte imparable, qu'il aura soigneusement mise de côté. Pour cela, il faut jouer en premier, puisque le nombre de cartes est pair, et que vous jouerez donc la dernière carte. Descartes Éditeur nous avait habitué à de bien meilleurs jeux. |
Ne pas confondre…
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François Haffner avant 2009 |