Robin, prince des bandits

Pour récupérer l'or du vil shérif de Nottingham, Robin a besoin de former une troupe de compagnons-voleurs. Et comme on joue de deux à cinq, il y a autant de Robin et autant de troupes.

L'idée directrice, c'est qu'on gagne en constituant des groupes de cinq voleurs différents, mais aussi en aidant ses partenaires à constituer leurs propres troupes.

La tactique et la mémoire sont de la partie. Pour avancer, il faut offrir le compagnon-voleur à un joueur qui ne le possède pas encore. On ne peut pas savoir exactement ce qu'il a en main, mais certaines cartes étant distribuées de manière visible, il faut essayer de les mémoriser.

Le système est astucieux. Sans être un jeu coopératif, on apprend ici à s'entraider… mais pas trop quand même !

En revanche, je n'ai toujours pas compris pourquoi Robin était représenté par un chien à quatre pattes.