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Titre | Schotten-Totten |
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alias | Battle Line | |||
Auteur | Reiner Knizia site officiel de l’auteur |
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Éditeurs | Edge - Ubik site officiel de l’éditeur Schmidt site officiel de l’éditeur |
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Année | 1998 | |||
Joueurs | 2 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 30 min | |||
Caractéristique | cartes | |||
Mécanismes | levées, levées progressives, majorité | |||
Emplacement | tiroirs du rayon S | |||
Règle du jeu | ||||
Vidéorègle | ||||
Résumés | ||||
Ressources | ||||
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J'ai rarement connu autant d'engouement pour un jeu que pour celui-ci. Schotten-Totten n'a que deux gros défauts. Il ne peut se jouer qu'à deux, même si une variante à trois est possible. Ensuite, il est pratiquement introuvable. Le jeu fait immanquablement penser à d'autres créations de l'auteur, comme les 7 collines de Rome (l'un des jeux de Neue Spiele im alten Rom) ou Les Cités perdues. Mais Schotten-Totten est à la fois plus simple, et plus complexe que ces deux jeux.
Depuis 2005, Schotten-Totten n'a plus qu'un seul défaut, puisqu'il a été réédité, et en français s'il vous plaît, par le jeune éditeur Ubik (Edge - Ubik). N.B. : Il existe plusieurs traductions libres disponibles sur Internet. Mais certaines d'entre elles contiennent une imprécision sur le tour de jeu du joueur. La traduction de Frédéric Bizet est fidèle aux règles originales, et précise sur un point : la revendication des bornes gagnées n'a lieu qu'en début de tour. Un adversaire qui a perdu une borne de manière certaine, mais qui n'y a pas encore posé trois cartes, peut donc se débarrasser d'une carte qu'il juge inutile en la jouant devant cette borne. |
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