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Titre | Santiago de Cuba |
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Auteur | Michael Rieneck | |||
Éditeurs | Eggertspiele site officiel de l’éditeur Filosofia |
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Année | 2011 | |||
Joueurs | 2 à 4 | |||
Public | ados, adultes | |||
Durée | 45 min | |||
Caractéristiques | inadapté aux daltoniens, un seul pion pour tous | |||
Mécanismes | affectation de travailleurs, fret, logistique | |||
Thèmes | Antilles, Cuba | |||
Emplacement | étagères du rayon S | |||
Site officiel | ||||
Règle du jeu | ||||
Vidéorègles | ||||
Résumé | ||||
Ressources | ||||
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Après Cuba et La Havane, Santiago de Cuba nous entraîne à nouveau vers la grande île des Antilles. On retrouve avec plaisir les illustrations de Michael Menzel qui donnent une unité à des jeux pourtant conçus par des auteurs différents.
Pour combien de joueurs ? L'un des principaux mécanismes consiste à récupérer des marchandises pour les vendre au port. Chaque marchandise existe en huit exemplaires. Celles qu'on a récupérées sont cachées derrière un paravent. Lorsqu'on joue à deux, le jeu est donc très différent. D'une part, il n'y a pratiquement pas de pénurie, d'autre part on peut toujours savoir exactement combien l'adversaire possède de pions de chaque couleur. L'usage des paravents est inutile et le jeu devient uniquement tactique. On peut regretter ou apprécier cet état de fait. L'essentiel est de savoir que Santiago de Cuba est assez différent à deux ou à quatre, quatre étant le nombre idéal selon mon goût personnel. |
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