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Titre | The Climbers |
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alias | Die Aufsteiger | |||
Auteur | Holger Lanz | |||
Éditeurs | Chili Spiele Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur Strategic Space Cliquez pour accéder au site officiel de l’éditeur |
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Année | 2008 | |||
Joueurs | 2 à 5 | |||
Public | enfants, ados, adultes | |||
Durée | 45 min | |||
Caractéristiques | adapté aux daltoniens, jeu de pions, pièce de musée, tablier modulaire, tablier modulaire et pions, tablier volumique et pions | |||
Mécanismes | course, empilement, gain par atteinte, maîtrise | |||
Emplacement | étagères du rayon C | |||
Règle du jeu | ||||
Ressources | ||||
The Climbers, ou Die Aufsteiger, est l'une des boîtes les plus pleines de ma collection. Lorsque tout le matériel est rangé, on aurait du mal à y ajouter deux dés. Ce qui tombe plutôt bien, puisque de dés, il n'est nul besoin. The Climbers rappelle un peu le mythique Ascension. Sauf qu'ici, on ne fait que monter. La règle, élégante de simplicité, permet aux joueurs de faire deux actions facultatives à leur tour : déplacer un bloc puis déplacer leur pion. Un pion ne peut monter que des marches égales à un demi-cube, et il ne peut cheminer que sur des surfaces grises ou de sa couleur. Heureusement, chacun dispose de deux échelles à usage unique qu'il faudra donc utiliser à bon escient. Lorsqu'à l'issue d'un tour aucun joueur n'a progressé vers le haut, et que le dernier à ne pas être monté se révèle toujours incapable de le faire, c'est alors le pion le plus haut qui gagne. Et s'il y a plusieurs pions au niveau le plus haut, me direz-vous ? C'est alors le dernier arrivé qui l'emporte. Cette règle particulièrement vicieuse donne tout son sel aux fins de parties : il faut en effet monter haut, mais surtout prendre garde de ne pas être suivi. |
François Haffner 29 avril 2012 |