Skyline

Les dés de Skyline représentent des étages de gratte-ciel. Il en existe trois types : les bases, les niveaux intermédiaires et les toits.

Le but est de créer, en neuf tours de jeu au maximum, les plus beaux édifices. Mais la partie peut s'arrêter avant si, à la fin d'un tour, un joueur a construit un building de six niveaux.

Les bâtiments les plus rémunérateurs, de couleur orange, sont aussi les plus difficiles à construire. D'une part leurs éléments ne se trouvent que sur une seule face de chaque dé ; d'autre part, ils doivent atteindre une hauteur d'au moins trois éléments et comporter un toit. À l'inverse les bâtiments violets, faciles à construire puisqu'un niveau peut suffire et qu'ils sont présents sur la moitié des faces de dés, ne rapportent guère de points.

Comme dans tous les jeux de jet de dés, le hasard a son importance. Mais le joueur dispose toutefois de choix intéressants. Il doit sélectionner les dés qu'il va utiliser et, après chaque lancer, déterminer quels résultats il utilise, et pour quel usage. Il y a aussi dans les règles une petit part de « stop ou encore » que personnellement j'apprécie.

Sans être une très grande création, Skyline n'en est pas moins un jeu familial agréable, très rapide et assez facile à expliquer… Et vous n'aurez pas à maîtriser la langue de William Van Alen

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plus sur Wikipédia pour vous y adonner, puisque l'Escale à jeux vous fournit une traduction des règles en français (voir ci-dessus).